En d'autres termes, tu as beaucoup de mal à garder un minimum de distance dès qu'il s'agit d'amour. Lorsque Cupidon décide de prendre ton petit palpitant pour cible, tu es de celles qui soupirent, cessent de s'alimenter et repeignent leur vie aux couleurs d'un film à l'eau de rose.. Quitte à oublier tout le reste : amis, famille, patrie, boulot, tout ça passe alors au second plan.
Même chose d'ailleurs lorsque tu as le malheur de rompre avec ta moitié : pas de demi mesure. Telle une héroïne de mélodrame, tu larmoies au fond du lit en jurant qu'on ne t'y reprendra plus.
Ne serais-tu point un tantinet excessive ? Si. C'est d'ailleurs ce qui fait ton charme : lorsque tu aimes, c'est petit nuage, violons, passion et compagnie. Lorsque que tu morfles, c'est cris de baleine blessée, envies de suicide et j'en passe. Je ne puis te jeter la pierre... Mais tu ne crois pas que pour ta santé et celle des autres, tu devrais prendre les choses un peu moins à coeur ?